Parmi les 613 lois, il existe apriori des commandements prioritaires et plus important que d’autres. Comment peut-on envisager ce manque d’homogénéité ? Existe-t-il réellement un ordre de préférence pour les Mitsvot ? A travers ce cours le Rav Raphaël Halimi nous invite à découvrir la valeur profonde des Mitsvot de D.ieu.
A la suite de la faute des explorateurs, D.ieu enjoint aux enfants d’Israël de porter les Tsitsit. Si chaque coin d’un habit doit posséder quatre fils, c’est par-ce-que nous suivons l’avis de l’académie de Chamaï. Car d’après celle de Hillel, trois fils suffisent… Pourquoi ces opinions divergentes ? Enfin, quel lien relie la Mitsva des Tsitsit avec l’épisode des exportateurs ?
PARACHAT TETSAVÉ Analyse : Chapitre 27 – Versets 20/21 Une des injonctions de notre Paracha est de confectionner puis d’allumer le Candélabre du Sanctuaire. Pour ce faire, Moïse demande aux Enfants d’Israël de lui apporter de l’huile d’olive pure et concassée. Par la suite, Moïse remettra cette huile à son frère Aaron afin qu’il allume lui même le Candélabre, la Ménorah à sept branches.
Ces trois semaines sont appelées par le prophète Jérémie Beïn HaMetsarim, littéralement « entre l’étroitesse ». Le mot metsar, constriction, resserrement, est la racine du mot Mitsraïm, l’Égypte au temps où nous étions esclaves lors de notre premier exil. Lorsque nous sommes dans l’étroitesse, nous sommes en état d’exil : nous ne pouvons pas exprimer ou être qui nous sommes vraiment.
D.ieu nous demande de L’aimer et Le craindre de tout notre cœur, de toute notre puissance. Avons-nous tous la capacité de se lier à D.ieu comme il nous l’est demandé ? Peut-on exiger de nous ce maximum ? Le verset répond : « Car cette chose est très proche de toi ; dans ta bouche, dans ton cœur, afin de le concrétiser ».
A travers une série de cours, le Rav Yossef Taïeb nous invite à découvrir, à travers les textes de loi, l’importance et la valeur de l’étude de la Torah.
משֶׁה קִבֵּל תּוֹרָה מִסִּינַי, וּמְסָרָהּ לִיהוֹשֻׁעַ, וִיהוֹשֻׁעַ לִזְקֵנִים, וּזְקֵנִים לִנְבִיאִים, וּנְבִיאִים מְסָרוּהָ לְאַנְשֵׁי כְנֶסֶת הַגְּדוֹלָה הֵם אָמְרוּ שְׁלשָׁה דְבָרִים, הֱווּ מְתוּנִים בַּדִּין, וְהַעֲמִידוּ תַלְמִידִים הַרְבֵּה, וַעֲשׂוּ סְיָג לַתּוֹרָה « Moïse reçut la Thora du Sinaï, il la transmit à Josué, Josué aux Anciens, les Anciens aux Prophètes, et les Prophètes la transmirent aux hommes de la Grande Assemblée.
La Paracha de Emor tombe toujours pendant la période du Omer. En effet, c’est ici qu’apparaitra l’injonction Divine de compter 49 semaines préparatrices au jour suprême du Don de la Torah. Qu’est-ce-que le compte du Omer ? Quelle est la part de l’homme dans ce compte ? Quel est le sens profond de ces 49 jours ? A travers ce cours, le Rav Raphaël Halimi nous invite à découvrir le pouvoir du compte du Omer.
Les Korbanot, les offrandes, dans le temple, étaient bel et bien d’ordre physique. Profondément, le concept du sacrifice est métaphysique. Notre vie est à l’image du Temple et l’homme a le devoir d’offrir à D.ieu une partie de lui même, chaque jour. Quel est l’idée ? Comment faire ? A travers ce cours, le Rav Raphaël Halimi nous invite à découvrir le sens profond du sacrifice.
La Emouna, la foi en le créateur tout puissant, est avant tout une injonction Divine, une Mitsva. Mais elle est surtout nécessaire dans la vie de tous les jours pour l’être humain qui est confronté à toutes sortes d’épreuves, d’embuches ou de remise en question. A travers ce 4éme épisode, le Rav Gérard Touaty nous invite à découvrir ou à redécouvrir la foi en D.ieu.
Mis à part le fait qu’il soit l’un des 4 éléments essentiels qui forment la matière connu, le feu est une source naturelle indispensable pour l’homme : Il réchauffe, il éclaire. Le feu est une matière particulièrement spirituelle puisqu’il est constamment attiré vers le haut. C’est à travers ce cours plein de chaleur que le Rav Yonathan Halimi nous invite à illuminer le sens de notre vie par le sens profond du feu et l’enseignement qui en découle.
Ce cours nous invite à découvrir le sens ésotérique de Souccot, fête des cabanes et des nuées de gloire ; jour de notre joie, selon les préceptes de la Kabala et de la ‘Hassidout.
Le fait d’être joyeux n’est pas, à proprement dit, une injonction de la Torah. La joie est en fait bien plus élevée que la stricte ligne de la loi juive, c’est la quintessence même de ce dont un juif doit aspirer tout au long de sa vie : pouvoir servir D.ieu dans l’allégresse et dans la jubilation ! Comme il est dit : « Et tu serviras l’éternel ton D.ieu dans la joie… ». A travers les enseignements de nos maîtres, le Rav Michaël Taïeb […]
A notre époque, l’homme est tellement préoccupé par ses différents centres d’intérêts, qu’il passe, malheureusement souvent, à côté de choses fondamentales de sa vie. Comme l’harmonie de son couple par exemple… Cela dit, Existe-t-il une technique miraculeuse et facilement applicable, qui aiderait au Chalom Baït, la paix dans la foyer ?
« Attache-les en signe sur ta main, et porte-les comme un fronteau entre tes yeux.» (Deutéronome 6:4-9) C’est en ce sens que les Téfilines posés à la fois sur la tête (siège de la pensée), orientés vers le cœur (siège des sentiments) et placés sur le bras (symbole de l’action concrète) sont un appel à la cohérence de l’ensemble des forces vives qui composent l’homme.
Le concept de récompense et de punition existe bel et bien dans le judaïsme. La question est donc souvent posée : Peut-on servir D.ieu avec intérêt et espérer une quelconque récolte pour nos bonnes actions ? A travers ce cours sur la Mitsva des Téfiline, le Rav Raphaël Halimi nous invite à découvrir cette idée.
LES TÉFILINE : « Tu les attacheras en signe sur ta main et en fronteau entre tes yeux. » (Deutéronome 6, 8). Il existe une différence fondamentale entre les Téfiline du bras et celles de la tête. L’une pour les sentiments et l’action, et la seconde pour l’esprit et la réflexion. Pourquoi cette différence ? A travers ce cours, le Rav Raphaël Halimi nous invite à agir pour mieux comprendre.
Rabbi Akiva enseigne dans le talmud : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique – 19, 18), cela est un grand principe de la Torah. Aimer, tolérer, estimer, respecter son prochain afin de mieux s’accepter soi-même, est aussi l’une des déductions de ce concept. A travers ce cours, le Rav Mendel Mergui revient sur l’un de nos plus grands commandements.
La Emouna, la foi en le créateur tout puissant, est avant tout une injonction Divine, une Mitsva. Mais elle est surtout nécessaire dans la vie de tous les jours pour l’être humain qui est confronté à toutes sortes d’épreuves, d’embuches ou de remise en question. Ainsi, ce même créateur nous enjoint également d’avoir foi en ses justes et de suivre leurs enseignements à la lettre. A travers ce deuxième opus, le Rav Gérard Touaty nous invite à découvrir le pourquoi […]
Tous les peuples de la terre furent effrayés lorsque ils entendirent ce que D.ieu fit aux Egyptiens afin de sauver son peuple. Nul n’osait s’attaquer aux enfants d’Israël, sauf un : Le peuple d’AMALEK. Le Rav Barouh Attal nous invite à explorer le sens profond de la Mitsva de se souvenir et d’effacer Amalek en tous temps. En trois épisodes.
Que l’on soit une personne pratiquante ou pas, cette question reste existentielle : Devons-nous faire ce que la Torah nous demande tel un serviteur envers son maître, c’est-à-dire de la manière la plus soumise qu’il soit, ou bien tel un fils ou même un associé qui désir s’impliquer afin de mieux agir et réussir l’entreprise ? Le Rav Haim Altabé nous invite à développer cette idée à travers ce cours authentique. Alors, s’impliquer ou se soumettre ?
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